Après l'effort, nous nous sommes régalés de galettes de roi faites maison par Christelle, et de cidre et de jus de pomme maison de Cricri. Cette aventure gustative a parfaitement couronné notre journée sportive et nous a réunis autour de délicieuses traditions. Partager ces moments ensemble renforce notre esprit d'équipe et notre amour pour la course en pleine nature. Vivement le prochain événement d'Epic & Trail, peut-être une soirée raclette ! 🌲🏃♀️🥳
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Historique
3/4/5 juillet 2025 : Restonica Trail - Cyrille - retour sur une course très exigeante
Retour sur ma petite session trail de cette fin de semaine. Au programme, l'Ultra Trail Di Corsica (U.T.C. du Restonica Trail): 111,3km et 7142D+, catégorisé 100M.
Je n'avais aucune prétention de temps, seulement l'objectif unique de terminer l'U.T.C.
Jeudi 3 juillet 2025, 22h30, Corte.
Au rythme de la batucada et des danses brésiliennes du groupe Samb'ava di Corti succèdent la musique haletante d'avant course puis des battements de coeur.
La foule de spectateurs est compacte.
512 participants sont réunis. Une bonne partie prépare l'Ultra Trail du Mont-Blanc ou la Diagonale des Fous.
À 23h00, le top départ est lancé. Les fumigènes inondent de rouge le cours Paoli.
La route s'élève de suite: 1316D+ sur 6,9km. Le silence est religieux: il n'est rompu que par la respiration des participants. C'est impressionnant!
Le balai des frontales perçant la noirceur de la nuit est magnifique.
Je m'adapte vite, je me sens bien, je me nourris de ces paysages nocturnes, essentiellement minéraux.
Car oui: c'est une véritable soupe de cailloux! L'assaisonnement est corsé, on ne connaît pas de répit. Partout, des cailloux de tout gabarit jonchent les sentiers. On ne peut pas les éviter: il faut apprendre à poser son pied et parfois à glisser, à se rattraper le plus proprement possible. En amont de la course, les organisteurs ont réalisé une vidéo pour montrer le tri des cailloux en fonction de leur calibre sur une échelle de 1 à 10, laissant penser que les chemins seraient dégagés. C'est un travail de gougnafier: tout reste à faire!
Sous une chaleur caniculaire (kit canicule activé), le passage aux trois premiers ravitaillements -E Padule au km 6,9, Boniacce au km 14,7 et Pinadellu au km 21,2- se déroule comme prévu. Les bénévoles sont aux petits soins, d'une gentillesse inimaginable et tous sont là pour nous. La bienveillance et la bonté corse sont exceptionnelles.
Entre le ravitaillement 4, au km 32,8 (Calacuccia), et le ravitaillement 5 (Bocca Crucetta), au km 44,3, la route s'élève de nouveau:1788D+. Nous passons au sud-ouest du Monte Cinto, plus haut sommet de Corse à 2706 mètres. Mon rythme est correct et mes sensations sont bonnes, je n'ai aucune gêne particulière. Je fais la connaissance d'un voisin de Saint-Arnoult-en-Yvelines, interpellé par le tee-shirt de la route des quatre châteaux que je porte.
3,4 km me séparent du ravitaillement 6, km47,8 (Ballonne). Je subis le contrecoup des efforts consentis dans la montée précédente. Je m'arrête sur le bas-côté pour me reposer quelque temps avant qu'un traileur local ne me presse de le suivre jusqu'au refuge: le tonnerre gronde, un orage est inévitable. La foudre ne tarde pas à tomber à quelques mètres de nous. Puis c'est un véritable déluge. Trempés de la tête aux pieds, nous parvenons tant bien que mal jusqu'au refuge que l'on partage avec les randonneurs du GR20. On se retrouve à une soixantaine dans 60m2. Dans un coin de ma tête figure toujours le scénario de la neutralisation de la Trans Aubrac pour raisons météorologiques au mois d'avril.
Mes deux tee-shirt de rechange sont mouillés. Je sèche ce que je peux.
Au bout d'une heure, à la faveur d'une éclaircie, deux premiers traileurs réussissent à se faufiler et à reprendre la route. Je leur emboite le pas. Les frottements de mes chaussettes trempées vont m'occasionner plusieurs ampoules.
Sabrina, Arthur et Alice me font la surprise de m'attendre en haut d'une côte, à 200 mètres de la base de vie, Ciattarinu, au km60. Je l'atteins à 19h00. Quel bonheur de terminer ces derniers mètres avec eux! C'est une réelle bouffée d'oxygène: je prends une douche et je me change entièrement pour revêtir une tenue propre. La prochaine fois, je veillerai à avoir une seconde paire de baskets également. Je fais le complément de stock alimentaire et je me restaure: un sandwich, plus rapide à manger qu'un bol de riz. Pendant ce temps-là, Sabrina perce mes ampoules, désinfecte et me met 2 ou 3 pansements Compeed. Je troque la casquette saharienne et les lunettes de soleil contre la frontale. La nuit tombe.
À 20h05, je quitte Sabrina, Arthur et Alice.
Les appuis sont douloureux. Je m'y habitue.
4km après mon départ de la base de vie, je rejoins un frère et une soeur d'une quarantaine d'années, venus spécialement de Nouvelle-Calédonie. Leur avion retour est prévu le lendemain, samedi, à 15h30. J'admire leur gestion de course.
Cela devient une course d'obstacles: sur plusieurs kilomètres, il nous faut contourner vaches et veaux, en plein milieu de notre chemin.
Tous trois évoluons dans le noir le plus complet, à des kilomètres à la ronde, foulant cailloux, rochers et autres minéraux (précieux) et nous foulant même parfois le pied.
À 00h00, nous percevons au loin quelques lumières. À n'en pas douter, il s'agit du ravitaillement d'Inzecche, km 75,2. Nous sommes accueillis comme des héros.
À 00h30, mes deux copains de course s'allongent un quart d'heure pour se reposer. Comme à chaque ravitaillement, je remplis mon réservoir de deux litres d'eau et ma flask de 500ml dans laquelle je place une électrolyte. Cette fois-ci, je mange une bonne soupe, du bon saucisson artisanal et quelques morceaux de gâteaux Naak.
Je me greffe à un petit groupe d'une vingtaine de coureurs. Je sympathise avec deux d'entre eux, deux copains d'une vingtaine d'années. Nous nous retrouvons vite en tête. Nous entamons ensemble une ascension de 715m sur 9,1km. Je peine un peu dans les derniers mètres et je m'accroche à un Corse, un local de 62 ans qui connaît les aspérités de tous les rochers et effectue sa randonnée matinale sur le GR 20.
J'atteins Bocca a Soglia, au km 84,4, aux alentours de 06h00. Il reste 03h00 pour franchir la dernière barrière horaire.
La descente abrupte et glissante (634D-) vers le ravitaillement 12 du km 88,5 E Grotelle - Chez Téo est interminable. Compensant le manque d'appui du fait des ampoules, je sollicite davantage les releveurs qui deviennent douloureux. Je ne cours plus, je marche.
Une bascule s'opère à ce moment là: j'ai l'impression de ne plus être dans un trail mais dans une course d'orientation. J'ai l'impression que les organisateurs ont balisé tout autour du lac au bord duquel se trouve le ravitaillement. Je ne comprends plus la règle du jeu, je suis complètement désorienté. De nombreux traileurs me dépassent. Je croise aussi des concurrents en sens opposé, qui m'ont l'air facile, ce qui alimente ma confusion. Aujourd'hui, j'en déduis que ceux qui étaient en sens opposé abandonnaient la course.
Finalement, j'arrive au ravitaillement 12 à 07h50. Le podologue, très sollicité, soigne mes ampoules. Il me retire les pansements Compeed, découpe la peau sèche, désinfecte et remet des pansements. Je repars à 09h00 en marchant tant bien que mal. Sur le peu de plat, mes bâtons donnent la cadence.
Il me reste 22,8km à faire, à commencer par un bloc de 726D+. Il me vient à penser réellement que cette portion n'était pas prévue au programme. Ma perception est altérée: je suis convaincu d'être sur une course à étapes et que la dernière (22,8km) a été modifiée et durcie. J'avance tel un zombie...
J'entame l'ascension seul. À mi hauteur, les deux copains rencontrés au départ d'Inzecche reviennent sur moi. Ils me disent s'être assoupis une quarantaine de minutes. Ils ajoutent que les serre-files sont en bas et accompagnent un Monsieur en difficulté. Dans un état délirant, je leur réponds que l'organisation est dans l'excès: je ne comprends pas pourquoi cette ascension a été ajoutée. S'ils ne relèvent pas ma réflexion, je ne sais pas comment j'ai pu dire cela, la navigation GPS de ma montre ne m'indiquant pas de fausse route. Ils poursuivent leur route. On se donne rendez-vous un peu plus loin. Je ne les reverrai pas.
Aux trois quarts de ce raidillon, je ne vois plus les balises. Je reviens sur mes pas, redescends et m'arrête sur un rocher pour me reposer un peu. Mon sac à dos me sert d'oreiller. Je m'assoupis -c'est la première fois de la course- instantanément. Quelques minutes plus tard, un coup de bâton dans la jambe me réveille: c'est le serre-file!
Le ton est sec -presque culpabilisateur- et l'échange est lapidaire:
"Ça fait longtemps que tu es comme cela?" -Oh non, ça doit faire 30 secondes.
-Allez, relève-toi, on y va!
Je reprends mes bâtons, me redresse, ne me retourne pas, fixe le sommet -enfin ce que je crois être le sommet- repère cette fois-ci sans difficulté les balises qui y mènent et je reprends mon chemin. Les quelques minutes de repos ont été bénéfiques: je ne m'arrête pas jusqu'au sommet. Dix minutes plus tard, les deux serre-files arrivent avec le dernier concurrent et ils immortalisent l'instant en photos.
Toujours dans une dimension parallèle, je demande où sont les autres participants, persuadé qu'ils devaient nous attendre au sommet. Le fermeur me fait répéter, il ne comprend pas la question et finit par me dire qu'ils font leur course. Je ne comprends plus rien.
Il nous indique le dernier ravitaillement, Alzu, à 4km, et nous informe qu'il ferme la marche avec son collègue. Je ne les reverrai plus du tout non plus.
Le dernier concurrent est moins bien que moi. Je pars devant. Exténué mais au rythme de mes bâtons.
J'expérimente les hallucinations visuelles: je perçois un combi VW gravé dans la montagne, des mots au sol formés par les aiguilles de pins, de la vaisselle cassée ou des petits monstres à la place des cailloux. À plusieurs reprises, je m'allonge pour tenter de me reposer et de reprendre quelques forces. Je n'y parviens pas. Je ne perçois plus les balises: je veux rentrer par le chemin le plus court. Fort heureusement, il n'y a pas trente-six chemins et je reste en route ainsi. À deux traileurs, que j'identifie comme de simples promeneurs, malgré tout leur attirail de trail et leur dossard, je demande la route pour Corte. Ils me répondent sans sourciller que je suis sur le bon chemin et me demandent si j'ai besoin de quelque chose. À chaque fois que je m'arrête, tous les participants (du 100M et du 100K sur cette portion) ou les simples randonneurs qui passent devant moi s'enquièrent de mon état, ont des mots sympas et proposent leur aide. Sabrina me dira plus tard que j'étais bouffi, l'air hagard, avec l'impression d'être shooté...
Mon téléphone étant déchargé, j'abuse de la gentillesse d'un participant qui me prête le sien. J'appelle Sabrina pour lui demander si elle a la possibilité de me rejoindre. Sabrina me rejoint avec les enfants pour m'accompagner dans les derniers hectomètres.
Je sympathise avec une jeune femme dont c'est le deuxième ultra après le 100M de l'Ultramarin l'an dernier. Nous envisageons de partager la dernière place du classement. Malheureusement, elle doit s'arrêter quelques minutes et elle arrivera une demi-heure plus tard.
Il n'est pas loin de 22h00 quand je pénètre dans Corte.
À mesure que je me rapproche, la pénombre diminue, les acclamations sporadiques sont de plus en plus nombreuses, le coeur de la ville devient de plus en plus animé.
À 300 mètres de l'arrivée, Arthur et Alice se joignent à moi. De part et d'autre de la rue, les terrasses bondées de restaurants nous applaudissent. Je n'ai plus mal aux pieds: je vole au dessus des marches. Dernier virage à gauche, à 100 mètres, je perçois l'arche. Au micro, le speaker imagine ce qui se passe dans ma tête au bout de 47 heures d'effort. Dans la rue, les gens en terrasse se lèvent et applaudissent. Le long des barrières de sécurité, la foule est encore nombreuse. Cette ferveur me propulse jusqu'à la ligne d'arrivée, accompagné d'Arthur et d'Alice.
J'ai l'impression d'être accueilli en triomphateur, d'avoir remporté la course. Deux bénévoles me sautent dans les bras, d'autres, ayant entendu parler de moi, un couple de médecins et leur fille m'ayant prêté assistance dans les derniers kilomètres viennent me féliciter.
Une belle médaille en métal m'est immédiatement passée autour du cou. J'endosse sans tarder le magnifique tee-shirt de finisher. Je suis choyé par les bénévoles qui sont aux petits soins avec moi.
Nous profitons de l'ambiance exceptionnelle avec les bénévoles d'une bienveillance et d'une générosité rares pour féliciter les deux derniers participants. Il y aura 296 finishers.
Je savoure ces moments, une heure encore, avant que se referme cette parenthèse hors du temps.
Nous sommes à J+3. Mes pieds cicatrisent bien, je travaille mes releveurs qui sont moins douloureux. Je ne souffre pas d'entorse malgré mes craintes.
Sur tous les aspects, cette course est hors norme.
Je n'ai pas gagné l'U.T.C., j'ai gagné ma course avec le soutien indéfectible et précieux de mes proches et des membres de mon club de coeur, Epic et Trail.
Cette victoire n'est rendue possible que par tous les sacrifices auxquels ma famille et moi consentons depuis ma reprise de la course à pied le 02/07/23.
Je remercie chaleureusement mon épouse Sabrina et mes deux enfants, Arthur et Alice, sans lesquels je n'en serais pas là aujourd'hui.
Ma marge de progression est encore énorme.
Le 12 octobre prochain m'attend l'objectif principal de la saison.
À bientôt pour sa révélation!
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5 janvier 2025 : Sortie Galette à Rochefort en Yvelines
Nous avons bravé un dimanche froid et humide pour notre sortie dominicale. Malgré le temps glacial, l'ambiance était chaleureuse
28 juin 2024 : ULTRA MARIN
Plusieurs épics se sont alignés à la fois sur le 100 km et d'autres sur le 175 km en solo ou en relais.
Sur le 100 km, Cyrille B. est finisher. Un grand bravo!
Le relais 100 km est bien arrivé
14 AU 16 JUIN 2024 : ULTRA TRAIL DU HAUT GRIFFE - SAMOENS
Frédéric s'est aligné sur le 96 km. Du fait d'une météo extrêmement défavorable pour le reste du parcours, l'organisation a pris la décision d'arrêter la course, et de rapatrier les coureurs.
09 JUIN 2024 : TRAIL DE L'ORANGERIE
24 MAI 2024 : GRAND RAID 73
4 traileurs (Patrice, Frédéric, Christelle et Cédric) se sont alignés pour cette grande aventure que chacun a réussi.
08 JUIN 2024 : TRAIL DE GUERLEDAN
Tentative d'un 65 km.

11 MAI 2024 : MARATHON DES VINS DE BLAYE
Un bon nombre d'Epics est venu profiter de la bonne ambiance festive de ce marathon avec un beau déguisement.
05 MAI 2024 : TRAIL DES LAVOIRS
28 AVRIL 2024 : TRAIL DES CERFS
21 AVRIL 2024 : MARATHON DU CONNEMARA
14 AVRIL 2024 : TRAIL DES BALCONS D'AZUR
Un épic s'est aventuré sur cette course de 70 km. Une distance non négligeable et qui a laissé des traces physiquement à notre traileur. Il a quand même franchi la ligne d'arrivée en warrior. Un énorme bravo à Patrice COMTE.
13 AVRIL 2024 : TRAIL URBAIN CHARTRES EN LUMIERES (28)
Trail urbain organisé par la ville de Chartres, fait tous les ans par le club afin de tous se retrouver pour un moment très convivial avant, pendant et après.
06 AVRIL 2024 : TRAIL DES RECULEES (LONS LE SAUNIER - JURA)
Le club s'est déplacé jusque dans le Jura pour ce beau trail tant en terme de paysage, que par ses chutes d'eau, l'ambiance, et surtout: pour faire un petit coucou à notre célèbre Vache qui Rit ! Et oui, c'est à Lons-le-Saunier que nous pouvons la rencontrer.
Les braves courageux étaient au nombre de 6 répartis sur un 20, 35 et 50 km.
06 AVRIL 2024 : DIAGONALE 78 ( ROCHEFORT EN YVELINES)
Course au coeur de nos terres où Evelyne est bénévole, et Cédric et Stéphane P. s'alignent sur le 20 km.
23 MARS 2024 : TRAIL ENTRE CHIEN ET LOUP - EMANCE (28)
Trail nocturne bien boueux et bien gras comme on aime. Une superbe participation des Epics, car 17 d'entre eux se sont lancés sur le 17 km avec de belles performances: Rémi qui est 4ème au scratch, Christelle pour sa 2ème place en sénior et 7ème féminine, Patrice qui est 19ème et 5ème de sa catégorie, Pascal en 1ere place M3 et 17ème au scratch, et un bravo tout spécial pour Léa, notre cadette, qui s'est lancée pour la 1ere fois sur la marche et avec une 2ème place cadet.
17 MARS 2024 : SEMI-MARATHON DE CHARTRES
2 épics se sont retrouvés dans les rues de Chartres pour cette course. Toujours avec le sourire !
16 MARS 2024 : ECOTRAIL DE PARIS
Ce samedi, plusieurs Epics se retrouvent sur un tracé qui les mènera au 1ère étage de la Tour Eiffel. Une belle motivation pour aller jusqu'au bout.
Sur le 45 km : Anthony
Sur le 80 km : Cyrille B., Poupou, Christophe, Sébastien E., Philippe
09 MARS 2024 : ROUGAIL TRAIL - BOUDOU (82)
08 MARS 2024 : SEMI-MARATHON DE RAMBOUILLET (78)
3 MARS 2024 : SEMI-MARATHON DE PARIS
2 MARS 2024 : SEMI-MARATHON DE VIERZON (18)
09 - 10 DECEMBRE 2023 : TRAIL DU LOUP BLANC ( GUERET)
Un chouette week-end Epic et trail
Ce week-end 19 Epic sont partis en Creuse a l attaque du trail du loup blanc ,dans la creuse notre premier objectif de l'année. L occasions de passer un chouette moment trail et bien-sûr Epic
Le samedi certains Epic étaient sur le 48km, d autres sur le 24km. Un pur trail pour travailler le mental au vue des conditions météorologiques. Oui le programme était du vent, de la pluie, de la boue, beaucoup de boue. Mais un parcours super sympa bien-sûr tous les epics finishers sauf deux blessés
Le soir chez Epic c'est soirée ( oui oui c'est meilleur pour la récup ) au programme de la fondue, du vin, du rhum , de la musique, de la bonne humeur
Et le dimanche c'est reparti pour certains sur un 30km ou sur un 15km, heureusement la météo était plu claimente et a permis de mieux profiter du paysage Une nouvelle fois tous finishers ( comme quoi la récupération était adapté ).
Un grand bravo a tous pour vos performances, gros respect a ceux pour qui c'étaient une première course et qui ont assurés, bravo aux fous qui ont enchaîné le samedi le 48km et le dimanche le 3 au0km . Un merci pour votre présence si nombreuses, votre bonne humeur et ses moments de partage. Vivement les prochains.
Un pur Week end Epic et trail
Christelle
ULTRAMARIN 27-30 JUIN 2024 (COURSE CLUB)
05 NOVEMBRE 2023: MARATHON DE NEW YORK
"Marathon de New York 2023
Premier marathon réalisé à peine 2 ans après être rentrés chez Epic.
Maintenant, place aux suivants et aux dénivelés ! "
31 OCTOBRE 2023: LA SORTIE DES FANTOMES
TRAIL DU LOUP BLANC
31 OCTOBRE 2023: SORTIE HALLOWEEN
8 JUILLET 2023: TRAIL DU VERBIER (course club)
1ER JUILLET 2023: GRAND TRAIL DU CANIGOU
30 JUIN 2023: L'ULTRA MARIN
LA SAISON 2022-2023
CHEZ EPIC EN 2022
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